Le match entre le Standard et l'Antwerp aura fait couler beaucoup d'encre. Suite aux jets de plusieurs gobelets sur la pelouse et l'arbitre, ce dernier avait pris la décision de mettre un terme à la rencontre alors qu'il restait encore six minutes à jouer. Finalement, la fin du match avait dû être joué quelques jours plus tard dans un stade de Sclessin vide (1-0).
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La Pro League sanctionne le StandardL'Antwerp, qui entend bien porter plainte devant les autorités compétentes, voulait aussi que la Pro League punisse le Standard pour l'arrêt du match. Le club anversois a été entendu, comme on peut le lire dans le communiqué du club liégeois.
"La Pro League a réclamé à notre club l’indemnité forfaitaire de 50.000€ suite à l’interruption définitive du match.
Par ailleurs, nous avons reçu hier soir le réquisitoire du Parquet RBFA : il requiert d’une part une amende ferme de 5.000€ pour les pyros en début de rencontre et les jets de gobelets et d’autre part un match à huis clos total avec sursis pour l’interruption du match. La date de l’audience devant le Conseil disciplinaire n’est pas encore fixée.
Le Standard de Liège est obligé d'assumer les conséquences des actes de ses supporters. Il fera valoir ses observations auprès des instances compétentes. Des mesures ont déjà été prises par la direction du club (introduction d’une procédure d’interdiction civile de stade, interdiction temporaire de consommer des boissons dans les tribunes). Une réunion d’urgence avec les membres du CA de la Famille des Rouches et notre SLO sera par ailleurs convoquée par notre Manager Général d’ici la rencontre contre Charleroi.
Tous ensemble, nous devons rendre notre stade convivial et sûr … sans perdre la passion, la ferveur et la fierté qui constituent notre ADN.
Tous ensemble nous devons agir pour que nos joueurs puissent toujours être poussés vers la victoire par leurs supporters.
Tous ensemble nous devons veiller à ce que la condamnation à un match avec huis clos ne soit plus envisagée ni a fortiori prononcée. Ceci dépend de chacun de nous..."
