Le KRC Genk continue pour l'instant à patauger en Jupiler Pro League. Quelques jours après la défaite à domicile contre Charleroi, il s'est également incliné sur son propre terrain face à l'Union SG : 1-2. Avec 8 points sur 24, la crise se profile donc à l'horizon.
Avant le début de la saison, on attendait beaucoup de Genk, considéré par la plupart des observateurs comme le principal challenger de l'Union SG et du Club Bruges pour le titre. L'équipe de l'entraîneur Thorsten Fink a d'ailleurs très bien joué dès le début. Mais avec 1 point sur 9, les résultats n'étaient pas à la hauteur.
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Fink reste positifLe Racing s'est ensuite repris avec 6 points sur 6 et une qualification pour la phase de ligue de l'Europa League. Mais depuis la trêve internationale, les choses se sont à nouveau dégradées. Après un match nul contre un Anderlecht à dix et une défaite contre Charleroi, le club a également perdu dimanche contre l'Union.
Malgré cela, l'entraîneur Fink tente de rester positif pour l'avenir proche. « Ce résultat ne doit pas nous freiner. Je suis heureux que nous n'ayons rien à perdre jeudi à Glasgow dans une autre compétition. C'est l'occasion de reprendre confiance avant le derby important de dimanche », a-t-il déclaré au Belang van Limburg.
Adedeji-Sternberg mis à l'écart
D'ailleurs, la chance aurait pu tourner dans l'autre sens. À 1-1, Genk s'est vu refuser un but. Et le but décisif de Rob Schoofs a été précédé de plusieurs erreurs.
Le remplaçant Noah Adedeji-Sternberg a notamment été le malchanceux de service avec une perte de balle inutile. Fink a toutefois refusé de jeter le jeune ailier en pâture.
« Nous n'allons pas rejeter la responsabilité de cette défaite sur un jeune joueur, d'autres erreurs ont été commises avant le 1-2. Nous n'étions pas bien placés en tant qu'équipe et avons réagi mollement sur le deuxième ballon. Mais il est vrai que nous devons mieux sentir où et quand nous devons mener nos actions individuelles. »
