La Belgique a conclu sa trêve internationale ce dimanche avec une performance éclatante. Après le 6-0 infligé au Liechtenstein lors de la cinquième journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026, les Diables Rouges ont réitéré l’exploit face au Kazakhstan, s’imposant à nouveau sur le score sans appel de 6-0. Titulaire dès le coup d’envoi, Kevin De Bruyne a une fois de plus démontré toute sa classe, signant un doublé et guidant son équipe vers cette large victoire.
Cette démonstration collective illustre la régularité et l’efficacité de l’équipe belge dans ces qualifications, mais aussi l’influence des joueurs cadres comme De Bruyne, capable de transformer un match par sa vision de jeu et sa qualité technique.
LIRE AUSSI: Lukaku remplace De Bruyne en Ligue des Champions
Conte est différent de GuardiolaAvant ce récital offensif, Kevin De Bruyne avait pris le temps, lors d’une conférence de presse en prélude au match, de revenir sur ses premières expériences en Serie A avec Naples. L’ancien joueur de Manchester City n’a pas caché son émotion en évoquant son parcours et les différences tactiques entre l’Angleterre et l’Italie.
« Je n’ai joué que deux matchs en Serie A. C’est différent avec Conte comme entraîneur que sous Pep Guardiola. Ma première impression, c’est qu’en Italie, c’est plus tactique et que les choses bougent un peu plus lentement. Mais ça reste du football, je m’y habitue », a-t-il expliqué.
De Bruyne a également évoqué le futur affrontement contre son ancien club : « Avant Manchester City, j’ai joué avec d’autres formations. Bientôt, nous jouerons contre City à Manchester avec Naples. Ce sera étrange. City est mon club et ça ne changera pas. »
Cette victoire 6-0 face au Kazakhstan conforte la Belgique dans sa campagne qualificative et souligne le rôle central de De Bruyne, à la fois leader sur le terrain et force tranquille de cette équipe. Ses déclarations montrent également un joueur réfléchi, capable de s’adapter à de nouveaux défis tout en restant attaché à son passé.
Salomon AGADA