Le Club Bruges continue de se positionner comme un acteur majeur du mercato estival. Avec les signatures prometteuses de Tresoldi, Reis, Forbs et Stankovic, le club flamand a renforcé son effectif en vue de la nouvelle saison.
Mais cet été est aussi marqué par de nombreux départs. Maxim De Cuyper et Rami Talbi ont déjà quitté le vestiaire, et d’autres pourraient suivre dans les prochaines semaines. Raphael Onyedika et Joel Ordoñez, notamment, sont attendus sur la rampe de lancement.
En parallèle du feuilleton Jashari, un autre nom attire les convoitises : Christos Tzolis. L’ailier grec, auteur d’une saison convaincante, plaît énormément à Bologne. Le club italien, qui s’apprête à perdre Dan Ndoye au profit de Nottingham Forest, cherche un successeur direct.
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Tzolis n'est pas à vendreMais à Bruges, la position est claire : Tzolis n’est pas à vendre. Le Club a récemment prolongé son contrat pour mieux verrouiller son avenir, et les dirigeants ont fixé la barre très haut. Il faudrait une offre avoisinant les 35 millions d’euros pour espérer initier une discussion, un montant jugé trop élevé pour Bologne.
Face à l’inflexibilité brugeoise, Bologne explore d’autres options. Plusieurs noms circulent déjà : Mohamed-Ali Cho (Nice), Eguinaldo (Shakhtar), Ruben Vargas (Séville), Andreas Schjelderup (Benfica) ou encore Ernest Nuamah (Lyon).
Pour Bruges, ce refus de négocier confirme une nouvelle stratégie : garder ses meilleurs éléments tant que le projet sportif l’exige. Et avec une campagne européenne en ligne de mire, la stabilité de joueurs comme Tzolis devient non négociable.
Salomon AGADA