À l'approche du double affrontement européen crucial contre l'AEK Athènes, le RSC Anderlecht a repris confiance. Dimanche après-midi, il s'est en effet imposé 0-2 sur le terrain du FCV Dender. Mais tout le monde n'était pas au rendez-vous chez les Mauve et Blanc.
Les Bruxellois connaissent un début de saison difficile. En raison des tours préliminaires européens, le RSCA doit jouer deux fois par semaine. Jeudi, par exemple, il a encore joué en Moldavie contre le Sheriff Tiraspol (1-1). Les Mauve et Blanc ont donc eu très peu de temps pour récupérer.
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Verschaeren à droiteMais cela avait été anticipé. Grâce à sa large victoire lors du match aller contre Sheriff, Anderlecht a pu se permettre de laisser quelques piliers au repos. Yari Verschaeren, entre autres, a pu rester en Belgique pour recharger ses batteries. Dimanche, le jeune joueur formé au club a débuté la rencontre dans le onze de base.
Le coach Besnik Hasi l'a cette fois aligné comme ailier droit, tout en lui laissant la liberté de rentrer vers l'intérieur. Cela a donné lieu à quelques actions incisives, mais dans l'ensemble, Verschaeren a une nouvelle fois été trop discret.
Trop peu présent sur le terrain
Les commentaires sur les sites web des journaux sont donc assez sévères. Dans La Dernière Heure, il est même le seul joueur à avoir obtenu une note de 4 sur 10.
« Il est retombé dans ses vieilles habitudes. Aucune de ses actions n'a débouché sur une occasion », peut-on lire. Après une heure de jeu, Verschaeren a également été remplacé par César Huerta, après quoi le RSCA a commencé à mieux jouer. C'est finalement le Mexicain qui a ouvert le score.
Het Nieuwsblad lui a également attribué une note médiocre de 4 sur 10. « Verschaeren en tant qu'ailier droit : cela ne produit pas toujours l'effet escompté. L'intention était pourtant souvent claire. Mais cela n'a pas créé de menace sur ce flanc. C'était insuffisant. » SudPresse (5 sur 10) se montre encore un peu indulgent. « Il a eu trop peu d'impact avec le ballon », conclut-on.
