Que Chelsea dépense sans compter depuis des années, ce n’est plus une surprise pour personne. Des millions sont investis dans de très jeunes talents, tandis que les loges VIP de Stamford Bridge sont remplies de stars. Mais ce que peu savent, c’est que Johan Boskamp a un jour joué un rôle étonnant dans ce club de Premier League.
Les histoires autour de Chelsea ne ressemblent plus à des récits de football classiques. Ce qui était autrefois un club ambitieux de Londres s’est transformé, sous Roman Abramovitch, en une machine de luxe où l’argent ne compte pas.
Des transferts à plusieurs dizaines de millions ? Aucun souci. Offrir des cadeaux de plusieurs milliers d’euros aux invités des loges VIP ? Tout à fait normal.
Les milliards d'Abramovitch
Dans le podcast KieftJansenEgmondGijp, cela est illustré de façon frappante quand il est question de Jorrel Hato. Le jeune joueur de l’Ajax serait dans le viseur de Chelsea pour un transfert colossal. « Ça leur est complètement égal », commente Michel van Egmond. Wim Kieft et René van der Gijp approuvent : « Ils achètent vingt joueurs pour un même poste. Si ça ne marche pas, ils passent au suivant. »
Les milliards d’Abramovitch ont créé une culture de club où tout est permis. Sur le terrain, mais surtout en dehors. On raconte que certains invités des loges VIP recevaient des sacs avec du parfum de luxe, voire une montre de 300 000 euros. Pas une blague, mais la norme. « Les gens s’enrichissent comme ça », note Kieft.
Et au milieu de ce luxe, un visage familier : Jan Boskamp. Pas comme joueur ou recruteur, mais comme invité. « Jan était presque assis sur les genoux d’Abramovitch », plaisante van Egmond. Grâce à ses liens avec Frank Arnesen et Piet de Visser, Boskamp profitait pleinement du monde décadent de Chelsea. « Il était vraiment le bienvenu là-bas », entend-on dans le podcast. Un accueil chaleureux… et parfumé. Littéralement.
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