Johan Bakayoko a enfin été transféré cet été, après avoir fait l'objet de nombreuses rumeurs lors des précédents mercatos. Après avoir remporté un deuxième titre national consécutif, l'ailier a quitté le PSV et a finalement signé au RB Leipzig.
Au sein du club allemand, Bakayoko retrouve de nombreux visages familiers, puisque Maarten Vandevoordt, Arthur Vermeeren et Loïs Openda y jouent également. Ils se connaissent depuis leur passage chez les Diables Rouges.
Bakayoko écarté des Diables Rouges
Ces derniers mois, Bakayoko était toutefois remarquablement absent. Sous Domenico Tedesco, le joueur de 22 ans était devenu un pilier de la sélection, mais sous Rudi Garcia, il n'était pas encore de la partie. En mars comme en juin, Bakayoko a été écarté. Le nouveau sélectionneur a préféré aligner sur les ailes des joueurs tels qu'Alexis Saelemaekers, Malick Fofana et Diego Moreira. Pour Bakayoko, qui compte jusqu'à présent dix-huit sélections, ce fut bien sûr un coup dur.
Compréhension pour la décision de Garcia
Mais Bakayoko comprend la décision de Garcia. « Je considère cela comme une expérience positive. Le football est très simple : si vous êtes bon, tout le monde le voit. Si vous ne l'êtes pas, tout le monde le voit aussi. Donc, si vous n'êtes pas sélectionné, c'est parce que vous ne le méritez pas », explique-t-il à DAZN.
À Leipzig, il veut se relancer après une année difficile au PSV, dont il a tiré des leçons. « Pendant cette période difficile, il y a eu des moments où je n'ai pas travaillé assez dur, et c'est justement ce que je ne dois pas faire », dit-il. « C'est quelque chose que j'ai appris. Il ne doit y avoir aucune place pour le relâchement. »
.webp)
.webp)
