À plus d'une semaine de la Supercoupe, le Club Bruges est en proie à des problèmes de transfert. Bien qu'il cherche également à renforcer ses ailes, c'est surtout au milieu de terrain que les choses bougent. Le journal Het Laatste Nieuws vient de publier une mise à jour.
Le journal confirme qu'après un voyage à Milan, les Blauw and Zwart sont sur le point de conclure un accord avec l'Inter concernant Aleksandar Stankovic, même si l'affaire n'est pas encore tout à fait bouclée.
« Un accord a été trouvé sur le montant du transfert de 10 millions d'euros, mais les négociations se poursuivent concernant la clause de rachat nécessaire pour l'Inter », peut-on lire.
Le Club s'engage avec Stankovic
Le Club souhaiterait fixer cette clause à 30 millions, ce que les Nerazzurri n'acceptent pas pour l'instant. Le montant exact qu'ils envisagent n'est pas mentionné, mais il semble que ce ne soit qu'une question de temps avant que ce dernier obstacle soit levé.
« Un transfert est attendu », selon HLN, qui ne fait aucune mention d'éventuels concurrents. Quelle que soit l'issue des discussions avec l'AC Milan concernant Ardon Jashari, le feu vert pourrait donc être donné prochainement.
Certains suggèrent d'ailleurs que les deux dossiers ne sont pas liés. Selon le journal, Stankovic devrait toutefois succéder au Suisse, qu'il a déjà remplacé à Lucerne la saison dernière.
Grève de Jashari
« Si le Club et l'Inter parviennent à un accord complet, ce qui est prévu, les Blauw and Zwart auront réalisé leur troisième transfert estival. Et trouvé le remplaçant de Jashari aussi, même si ce dernier est toujours joueur du Club », ajoute-t-on.
Pour forcer son départ, le Joueur de l'année a décidé de faire grève. Il ne participera pas non plus à la journée des fans samedi. Toujours selon HLN, le Club pouvait comprendre, mais dans l'attente d'une offre suffisante, il compte toutefois sur Jashari pour remplir ses obligations professionnelles.
Nicky Hayen l'attendrait dès lundi à l'entraînement. Il n'est toutefois pas certain qu'il se présentera. La tension à Westkapelle menace donc de devenir insoutenable.