"A ce niveau, trois ou quatre séances d’entraînement supplémentaires peuvent changer beaucoup de choses. Eden en est la preuve. Entre son entrée au jeu totalement ratée face à la Croatie et celle de samedi en Russie, il semble y avoir un monde d’écart. Entre ces deux extrêmes, il n’y a qu’une vérité: celle de son impact sur le jeu", a expliqué Philippe Albert dans La Meuse.
"On n’a pas encore vu le Hazard virevoltant du match contre la Hongrie à l’Euro 2016 ou de la campagne de Russie deux ans plus tard. Mais son enchaînement contrôle plus accélération à peine sur le terrain parle de lui-même. Sa courbe de forme est repartie à la hausse, et en flèche!"
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