À Anderlecht, le discours est clair : si la situation financière est bonne, il faut arriver à réduire les dépenses.
La masse salariale est ainsi un point où des économies sont possibles mais pour rationaliser les dépenses il y a un autre point où le Sporting se montre intransigeant, celui des primes. Sur les montants, on a décidé d'opter pour des montants assez standardisés au niveau belge.
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Primes de victoire standardiséesAinsi, en plus de leur salaire de base, les joueurs empochent 3.000 euros bruts pour une victoire et 1.000 euros pour un match nul. Des sommes qui valent pour les titulaires alors que les joueurs montés au jeu empochent de leur côté 1.500 euros pour une victoire et 500 euros pour un match nul.
Mais pour valider ces primes, il y a des conditions et l'une d'elles et de finir dans le top 6 à l'issue de la phase classique. Si c'est le cas, le club verse alors en juin les primes engrangées tout au long de la saison par les joueurs.
Les nouveaux contrats concernés
Cette façon de faire, selon la Dernière Heure, vaudrait surtout pour les nouveaux contrats. Interrogé sur le sujet, le club n'a cependant pas souhaité donner de réponse et il est donc difficile de savoir ce qu'en pensent les premiers concernés, les joueurs.
Avec la non-qualification pour une compétition européenne cette saison et si certains gros transferts comme celui de Zeno Debast n'ont pas lieu, il va falloir faire des calculs pour éviter de retomber dans le rouge après avoir conclu deux exercices consécutifs dans le vert.