KDB regrette-il d'avoir signé à Naples ? Un coéquipier balance

Pour Kevin De Bruyne, il y a eu l'été dernier le choix de relever un nouveau défi en quittant Manchester City après dix années passées avec les Skyblues. 

Avec les Partneopei, le Belge s'est très rapidement adapté et s'est montré décisif dès ses premiers matchs disputés. Alors qu'il était au sommet de son art, il a cependant été rattrapé par une blessure après avoir tiré un penalty. 

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La méthode Conte remise en question

Si on sait qu'il en a pour plusieurs mois d'absence après avoir dû être opéré, la question qui se pose est de savoir pourquoi il s'est blessé. Si certains ont émis l'hypothèse d'un temps de décision trop long du VAR, qui aurait coûté une blessure à Paulo Dybala aussi, d'autres se demandent si la méthode Conte n'est pas à l'orginie du problème. 

Stanislav Lobotka vient ajouter de l'eau au moulin de ceux qui pensent que le coach en demande peut-être trop à son groupe : "Notre premier jour de repos ? Ce sera en mai, après la fin de la saison", déclare ainsi le Slovaque.

"Kevin n'est pas du genre à se plaindre"

"C'est tout à fait le style de Conte. Il part même en vacances avec nous. Il exige de la discipline et que tous ses joueurs adoptent sa mentalité", ajoute le joueur de Naples.

Lobotka qui évoque la façon dont De Bruyne vit cette situation : "Kevin m'a dit n'avoir jamais rien vécu de tel en dix ans à Manchester City. Je lui ai répondu qu'il faisait un excellent travail et qu'il n'avait d'autre choix que de travailler dur et d'accepter le style de Conte."

"Mais Kevin n'est pas du genre à se plaindre […] Il se donne à fond. Il pourrait tout aussi bien dire qu'à son âge et avec sa carrière, il ne s'entraîne qu'à moitié. J'admire beaucoup le fait qu'il se laisse encore torturer ainsi ici", poursuit Lobotka.

Avant de conclure en affirmant que le Diable rouge ferait peut-être un autre choix si c'était à recommencer. "S'il avait une autre chance, il aurait peut-être choisi l'Amérique ou l'Arabie saoudite. Mais il devait bien se douter que ce serait comme ça ici à Naples ?", de dire Lobotka.