Pour Kevin De Bruyne, il y a eu l'été dernier la décision de relever un nouveau défi après avoir passé dix années à Manchester City.
C'est à Naples, fraichement champion d'Italie pour la quatrième fois de son histoire que le Diable rouge posait ses valises. S'il y retrouvait Romelu Lukaku, ce dernier se blessa rapidement mais même sans son binôme de l'équipe nationale, De Bruyne réalisait un énorme début de saison.
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Une blessure graveDans tous les bons coups, il offrait de gros points à Naples. Ce fut encore le cas lorsqu'il débloqua le score contre l'Inter grâce à un penalty. Un penalty qui allait lui coûter cher puisque tout de suite après l'avoir botté, il se tenait la cuisse. Sorti avec des béquilles, il a finalkement dû passer une nouvelle fois par la case opération.
Et si De Bruyne s'est de nouveau blessé, un médecin italien explique que le VAR est peut-être à mettre en cause. Si l'arbitre Chiffi arrêta le jeu à la 53e minute de jeu, c'est seulement à la 59e que De Bruyne put s'élancer pour tirer le penalty, un temps énorme qui pourrait expliquer la blessure.
Trop statique ?
"Le tireur reste à l'arrêt trop longtemps. Faire refroidir un muscle augmente le risque de lésions, surtout si ensuite il tire fort, avec un mouvement sec", explique le professeur Mariani.
Quelle serait donc la solution pour remédier à cela ? "Les joueurs devraient bouger sur place, maintenir e tonus musculaire et ne pas rester statiques", suggère le professeur. Dans le cas de De Bruyne, on rappellera que Neres s'était dirigé vers le point de penalty pour le bottter avant que Conte n'iniste pour que ce soit le Belge qui s'élance.
De Bruyne qui a pour habitude de rester assez statique avant de tirer ses penalty, le regard baissé sur le ballon en attendant le coup de sifflet de l'arbitre. À son retour, il devra donc peut-être revoir sa façon de faire, surtout si le VAR met du temps à intervenir.