Face au Liechtenstein, personne n'a douté que la Belgique se qualifierait pour la prochaine Coupe du Monde.
Des Diables qui se sont en partie rassurés après un match nul décevant au Kazakhstan quelques jours plus tôt. Mais pour Rudi Garcia, les rencontres n'étaient pas si différentes que cela l'une de l'autre.
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La grande différence"Si vous regardez bien les statistiques, on n’a pas de meilleurs chiffres que face au Kazakhstan samedi dernier ou contre la Macédoine du Nord à domicile quand on a partagé. La grande différence, c’est quand on concrétise nos situations", d'analyser le sélectionneur pour la RTBF.
"On a juste été plus efficace contre le Liechtenstein. On s'inquiètera le jour où on ne procurera plus de possibilités. Il faut parfois se détacher du résultat pour s’attacher au contenu", de poursuivre le Français.
"Certains n'en ont pas les capacités"
Avant de régler ses comptes avec certains sans les citer : "Moi c’est mon job donc c’est facile, pour certains ça parait juste impossible. Peut-être parce qu’ils n’en ont pas les capacités, je n’en sais rien."
"Le principal, c’est d’aller au Mondial et que ça se passe bien avec mes joueurs et mes dirigeants. Le reste, ça n’a pas d’importance. En 2018 ou 2022, la Belgique était première au classement FIFA. J’ai récupéré une équipe qui était pratiquement en Ligue B en Ligue des Nations", rappelle Garcia.
Avant de conclure : "Ca m’ennuie de parler de la génération dorée, mais les Belges étaient favoris pour gagner les deux derniers Mondiaux. Aujourd’hui, on est reparti pratiquement de zéro."
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