En ce mois d'octobre, la Belgique dispute deux matchs de qualification pour la Coupe du Monde particulièrement importants.
Un duel contre la Macédoine du Nord et un autre contre le Pays de Galles pour lesquels le sélectionneur a misé sur l'expérience plutôt que sur la fougue de la jeunesse. Une façon de faire qui le distingue de Domenico Tedesco, qui était un partisan des tests, même dans les matchs qui comptent.
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Deux stratégies différentesL'Italo-Allemand n'avait pas hésité à appeler des joueurs qui ont disparu de la sélection depuis son départ. C'est notamment le cas d'Arthur Vermeeren, dont on connait la situation et qui pourrait faire son retour rapidement s'il preste comme il le fait à Marseille en ce moment.
En revanche, il y a d'autres noms qui n'ont que très peu de chances d'être appelés. C'est le cas d'Ameen Al-Dakhil, Olivier Deman, Aster Vranckx, Julian Duranville, Arne Engels ou encore Matte Smets.
Le grand oublié de Garcia
En rappelant Axel Witsel, Rudi Garcia a prouvé qu'il comptait encore sur l'expérience de la génération dorée pour les échéances qui se profilent. Plus conservateur que son prédécesseur, le Français ne semble pas pressé de remplacer définitivement ceux qui avaient remporté le bronze lors de la Coupe du Monde en Russie.
Parmi les absences les plus remarquées de la sélection de Garcia, on notera celle de Wout Faes, qui semblait incontournable avec Tedesco mais qui a été remplacé par Zeno Debast et Arthur Theate alors que Koni De Winter et Brandon Mechele sont en embuscade pour les remplacer.
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