Depuis la défaite en finale de Coupe de Belgique contre le Club de Bruges, Anderlecht attend patiemment la fin de saison.
Pour la dernière de la saison, les Mauves joueront face au KRC Genk dimanche. Mais en même en cas de bon résultat et/ou bonne performance, il est peu probable que Besnik Hasi se voir proposé un nouveau contrat. Il faut dire que le coach albanais n'a pas réussi à atteindre les objectifs du club avec la finale perdue et la 4e place au classement.
Pour le moment, Olivier Renard et Tom Borguet n'ont pas encore pris de décision, mais l'avenir de l'ancien coach de Malines semble déjà tout écrit.
"Il a vraiment envie de rester et fait de gros efforts pour, peut-être même trop. Mais Anderlecht a aussi de nombreuses raisons de ne pas le garder", déclare Filip Joos dans 90 Minutes.
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Tuur Dierckx prend la défense de Besnik Hasi"Je ne pense pas que son passage à Anderlecht soit si mauvais qu'on ne le laisse entendre. Il a montré qu'il pouvait fédérer un groupe et a aidé des joueurs comme Thorgan Hazard et Leander Dendoncker à retrouver un bon niveau. Mais est-ce suffisant ?" s'interroge Tuur Dierckx.
Tous deux saluent l'approche de Hasi, tant sur le plan tactique que mental, et estiment qu'il a réussi à tirer le meilleur parti de son groupe : "Ce serait injuste de mettre toute la responsabilité des mauvais Play-Offs du club sur ses épaules. Il a sauvé ce qui pouvait l'être. Je comprends aussi son besoin de faire ses preuves", poursuit Joos.
A la tête d'un autre grand club belge ?
Avant de conclure : "Je ne sais pas si c'était sa dernière chance à la tête d'un grand club belge. Il ne faut pas le sous-estimer. Je le vois capable de réussir ailleurs. Imaginons qu'il succède à Rik De Mil à Charleroi et qu'il y fasse du bon boulot. Alors, il sera de nouveau envisagé par des clubs comme Genk ou La Gantoise."
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