Charleroi a ramené Lukas Teodorczyk en Belgique. Ironie du sort, c'est justement sur le terrain des Zèbres que l'attaquant polonais avait inscrits les buts du dernier titre d'Anderlecht. Depuis, deux années marquées par les blessures sont passées à l'Udinese.
Teodorczyk est arrivé à Charleroi. Selon Sport/FootMagazine, les doutes concernaient l'état de forme du joueur. Rassuré par une visite médicale effectuée à distance, Karim Belhocine a donné son aval. "Il m’a dit texto: -Si tu sais le faire, fais-le", a raconté Mehdi Bayat. "Et puisque Teo n’est pas le genre d’attaquant qu’on a besoin de profiler trop longtemps et que la facilité des relations entre Mogi et le club nous a d’entrée permis de voir si le deal était crédible, tout ça s’est fait en une petite semaine."
Un deal rondement mené, mais loin d’être gratuit. Mais on peut se poser la question de savoir quel serait l’intérêt d’un tel investissement financier pour un joueur de 29 ans, débarqué sans option d’achat. Impayable pour Charleroi: le salaire du Polonais le placerait parmi les cadres les mieux rémunérés du noyau, même si les émoluments du joueur ne seront évidemment pas à la seule charge des finances zébrées, loin de là .
Petite précisions: l'Udinese n'est pas le club italien, qui paie le mieux mais Teodorczyk perçoit 500.000 euros nets par an.
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