Enorme condamnation du PSG : le clan Mbappé en rajoute une couche

Pour Kylian Mbappé et le PSG, il y avait ce mardi un rendez-vous devant les prud'hommes. La fin du conflit entre le joueur et son ancien club ?

Une décision a en tout cas été prise et les champions d'Europe en titre sont désormais contraints de verser la somme de 61 millions d'euros à Mbappé. En plus de cela, il y a l'obligation d'afficher la décision sur la première page du site internet du club. Le PSG qui a désormais un mois pour faire appel de la décision.

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"Pas un combat personnel"

Quoi qu'il en soit, on est heureux du côté du clan Mbappé et notamment de son avocate, Maitre Verheyden. Cette dernière explique qu'elle est soulagée de voir son client "obtenir les salaires et les primes qui manquaient".

"C’était la feuille de route donnée par Kylian Mbappé", assure Delphine Verheyden. "Kylian n’était pas dans un combat personnel. Est-ce humiliant de devoir écrire ce qu’on devait ? Kylian était dans un combat de principe. Quand on travaille, on mérite d’être payé."

"Soulagé, content, égal à lui-même"

"En demandant ces publications en homepage du PSG, l’idée est que ça mérite d’être su. Il y a eu un débat d’images en coulisse, une volonté de vouloir nuire à l’image de Kylian. Ce n’est pas juste. Quels sont nos moyens, à part faire savoir ce qu’il s’est réellement produit ? On aura tout fait pour que les choses soient sur la table", ajoute l'avocate qui défend les intérêts de Kylian Mbappé depuis dix ans.

"Il est soulagé, content, égal à lui-même. Cela fait 10 ans que je le représente, il est déterminé, passionné par son métier. Il est satisfait, content que ça se termine. Il a une grande confiance dans le travail fait par ses équipes", dit-elle encore.

"Mbappé voulait ses salaires et sa prime, c’est tout. On s’est rendu compte que ce n’était pas possible. À la demande de Kylian et de sa famille, j’ai constitué cette équipe de travail avec mes trois confrères. On a fait une conférence de presse, on ne les a pas pris en traîtres. Ils n’ont pas voulu payer. On a continué à dérouler, jusqu’à aujourd’hui", de conclure Maitre Verheyden.