Olivier Renard a connu un premier mercato estival mouvementé en tant que directeur sportif du RSC Anderlecht. Juste avant le match de dimanche face à Genk, il est revenu sur ses choix au micro de DAZN. Mais ce n’est pas tant son discours que son apparence qui a fait débat.
Arrivé il y a moins d’un an, l’ancien gardien – passé par Malines, le Standard et Montréal – avait été recruté par Wouter Vandenhaute pour dessiner les nouvelles lignes sportives après le départ du CEO Jesper Fredberg. Contrairement à son prédécesseur, plus tourné vers des renforts à impact immédiat, Renard mise davantage sur de jeunes profils susceptibles d’apporter une plus-value financière à moyen terme. Une stratégie clairement visible cet été.
Mais les résultats ne suivent pas encore. L’élimination précoce en Europe reste une gifle, et Renard a dû justifier ses choix devant les caméras. Ce qui a retenu l’attention ? Son look : un style très décontracté, casquette vissée sur la tête.
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Rien à voir avec Van HolsbeeckUn détail qui n’a pas échappé aux observateurs. Dans le podcast foot de HLN, l’ancien gardien Frank Boeckx a taclé cette attitude : « Quand on occupe un poste de direction, on doit représenter un certain standing. À l’époque de Van Holsbeeck, c’était toujours costume et cravate, quelle que soit l’affiche. Cela faisait partie de l’institution Anderlecht. »
Même son de cloche chez Niels Poissonier (HLN) : « Bien sûr, les temps changent. Mais une casquette devant les caméras ? Pas assez classe pour un club comme Anderlecht. Dans une logique de noblesse oblige, il aurait dû l’enlever. »
🗣 | Olivier Renard blijft strijdvaardig ondanks de tegenvallende resultaten van de laatste weken. 👊🎤 #ANDGNK pic.twitter.com/5zXqOUMC55
— DAZN België (@DAZN_BENL) September 14, 2025