Jeudi, le Conseil national de sécurité a décidé que 400 spectateurs seraient admis aux manifestations en plein air à partir du 1er septembre. Il a en même temps avancé que des exceptions peuvent éventuellement être faites pour permettre à des groupes de supporters plus importants d'entrer dans le stade. Dans ce cas, le club doit trouver un accord avec le bourgmestre et le ministre.
C'est une bonne nouvelle pour les clubs, qui visent 1.000 à 5.000 spectateurs selon la capacité du stade dans lequel ils jouent. Mais bien sûr, tous les bourgmestres ne sont pas du même avis. Selon Het Laatste Nieuws, ceux de Bruges et de Liège ont déjà laissé entendre qu'ils sont enclins à coopérer pour permettre à plus grand nombre de personnes d'accéder au stade Jan Breydel et à Sclessin. Selon Het Belang van Limburg, le maire de Genk suivrait la même voie.
En fait, la plupart des clubs auraient reçu une réaction positive de leurs bourgmestres, mais à Anderlecht et à Anvers, le scepticisme serait plus de mise. "Des mesures provinciales plus strictes s'appliquent toujours. Nous voulons d'abord étudier les nouvelles lignes directrices", aurait répondu la Ville d'Anvers au quotidien. Pour Anderlecht, l'Antwerp et le Beerschot, il faut attendre...
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