Pour l’animateur Yanko Beeckman, il n’y a aucun doute : Vincent Kompany est l’homme de 2025. Depuis son arrivée sur le banc du Bayern Munich, l’ancien capitaine belge a imposé sa patte et domine la Bundesliga.
Cette saison encore, le club bavarois affiche une avance confortable sur ses rivaux, et en Ligue des champions, Kompany compte déjà 15 points sur 18, confirmant son excellent début européen.
Dans l’édition spéciale de fin d’année du HLN Voetbalpodcast, le panel composé de Frank Boeckx, analyste et ancien collaborateur de Kompany à Anderlecht, et du journaliste Niels Poissonnier, a longuement discuté de l’impact de Kompany sur le club.
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Il fait taire les critiquesBeeckman a expliqué que le Belge avait su calmer toutes les critiques internes : « Au sein du club, certains sont toujours très prompts à critiquer. Kompany les a tous réduits au silence. »
Boeckx ajoute que cette autorité et cette obsession du football font de Kompany un coach extrêmement exigeant, pour lui-même comme pour ses collaborateurs.
L’analyste souligne cependant que travailler sous Kompany est un engagement énorme. Il raconte que cela demande de sacrifier une partie de sa vie personnelle : sa famille doit accepter de voir peu l’entraîneur et ses collaborateurs, car Kompany est méticuleux et inflexible sur le respect de ses horaires et de son organisation.
En résumé, Kompany s’impose non seulement comme un leader sur le terrain, mais également comme un coach obsessionnel et charismatique, capable de transformer un club et de gagner le respect de ses joueurs et du staff. Son autorité, son exigence et ses résultats en font un personnage incontournable du football européen.