Oosting fait forte impression à l'Antwerp

Il y a quelques semaines encore, l'Antwerp semblait moribond, mais aujourd'hui, le Great Old est de nouveau bien vivant. Après une belle série de victoires, le top six est même à nouveau à portée de main. Le nouveau coach Joseph Oosting a fait forte impression.

En partie à cause des mesures d'économie prises pendant le mercato estival, qui n'ont pas suffi à compenser le départ d'une longue liste de piliers, l'Antwerp a connu un début de saison catastrophique. La défaite à domicile contre la lanterne rouge Dender a marqué le point culminant. Elle a conduit au licenciement de l'entraîneur Stef Wils.

Ce dernier n'était certainement pas le seul responsable de la crise. Mais le fait est que depuis lors, les choses ont soudainement changé pour le Great Old. Il y a d'abord eu la victoire surprise contre le Club de Bruges, puis l'élimination de Saint-Trond en coupe, la victoire 3-0 contre le KRC Genk et, le week-end dernier, celle contre Gand.

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Une communication honnête et directe

La victoire à Bruges a été remportée sous la houlette de l'entraîneur intérimaire Faris Haroun, les autres victoires étant à mettre au crédit d'Oosting. Ce dernier n'a jusqu'à présent procédé à aucun changement radical et a fait savoir qu'il souhaitait rendre le jeu de son équipe beaucoup plus attractif. Mais il suit une ligne claire.

Sur Sporza, le pilier Gyrano Kerk a déjà donné un aperçu de l'influence d'Oosting. « Il est super honnête. Je travaille avec lui depuis deux semaines et il dit les choses telles qu'elles sont. Que ce soit bon ou mauvais, il vous le dit immédiatement, afin que cela ne se reproduise plus et que nous nous améliorions », explique-t-il.

Devenir encore plus dominant

Une communication claire et directe est donc pour l'instant la marque de fabrique de l'entraîneur néerlandais. Mais comme nous l'avons dit, Oosting a lui-même fait savoir qu'il aspirait à un football plus dominant et plus attractif. Cela devrait suivre à terme, mais jusqu'à présent, ses ajustements tactiques sont restés limités.

« Il a apporté de très légères modifications tactiques, mais il veut que nous mettions beaucoup plus de pression. C'est ce à quoi nous nous sommes attelés jusqu'à présent », explique Kerk.