À Anderlecht comme ailleurs, la nouvelle saison est déjà en préparation. Et les choses s'agitent déjà pas mal pour les Bruxellois, qui veulent éviter de connaitre une nouvelle saison sans le moindre trophée.
Mais pour Besnik Hasi, le climat actuel n'est peut-être pas idéal pour préparer les premières échéances, les qualifications pour l'Europa League. Car il y a des tensions toujours plus grandes autour de Wouter Vandenhaute.
Une position délicate
Un président critiqué par les supporters, qui n'ont pas hésité à demander une nouvelle fois sa démission lors du premier match de préparation de la saison. Et ce mardi, c'ets une lettre ouverte qui a été adressée à celui qui est tenu pour responsable d'une bonne partie des problèmes du club.
Lors du dernier conseil avec les supporters, Olivier Renard avait pris la défense de Vandehaute en expliquant aux supporters qu'il était injuste de s'en prendre à un seul homme. Mais cela n'a pas suffi à calmer leur colère. Notamment parce que les changements sont trop nombreux.
Le seul responsable ?
Si les entraineurs se sont enchainé, c'est aussi le cas chez les formateurs dans les équipes de jeune, du CEO ainsi que d'autres membres du staff. Et puis Anderlecht a surtout reculé dans la hiérarchie belge avec des clubs comme Bruges et l'Union Saint-Gilloise qui semblent avoir pris un avantage difficile à refaire.
Si pour le moment Vandenhaute reste en place, il y a le risque que cela se transforme en bombe à retardement à Anderlecht. Sans résultats probants dès le début de saison, les supporters risquent de passer à la vitesse supérieure dans leurs protestations, ce qui n'est évidemment pas idéal pour l'entraineur et les joueurs.