Suite à la rencontre Ostende-Standard, les réactions continuent de fuser. Voici celles de quatre éléments clés de celle-ci recueillies par la DH.
Gohi Bi Cyriac: "Je n'ai pas marqué, mais j'ai participé à la victoire, c'est le plus important. On essaye de toujours se projeter vers l'avant, c'est notre grande force. On espère pouvoir continuer sur cette dynamique. On a pris le Standard directement à la gorge en jouant très haut et ce but rapide nous a libérés."
Fernando Canesin: "On a déjà joué un bon match la semaine dernière. Aujourd'hui, on a mérité nos trois points. Sur mon but, j'ai voulu faire une tête plongeante mais le ballon a atteri sur mon genou. Le plus important, c'est que ça soit but. "
Didier Ovono: "En seconde période, le Standard a eu deux grosses occasions via Knockaert, puis dans la foulée, on a inscrit le troisième but. Je suis content d'avoir réalisé un arrêt déterminant sur cette frappe au sol de Knockaert. Cette victoire nous donne du baume au cœur. L'équipe grandit de jour en jour et aujourd'hui, on lutte pour les premières places."
Yannick Ferrera: "Je pense qu'il y a eu un match avant et après le 3-1. On a donné des buts cadeaux en première période, mais on est bien revenu en seconde période. On s'est créé quelques possibilités et on prend le 3-1 sur un contre. On aurait pu rentrer avec un nul à la mi-temps, mais on a pas eu de réussite aujourd'hui. On va se baser sur le positif pour travailler en vue du match de dimanche prochain. La carte rouge est logique au vu du règlement même si Mathieu (Dossevi) n'a pas voulu blesser le joueur adverse."
Yves Vanderhaeghe: "On a profité d'un cadeau sur le premier but, mais c'est comme ça qu'on gagne certaines rencontres. Après le 1-1, on a eu pas mal de déchets, mais on a su tuer le match en seconde période, car si le Standard avait fait 2-2, on aurait vu un autre match. Après, on a bien fait circulé et on a fait courir le Standard. On essaye toujours de construire proprement de derrière et de trouver l'homme libre. Jouer du beau football, cela porte ses fruits. Il faut continuer à travailler pour rester à la position dans laquelle nous sommes actuellement et garder les pieds sur terre."
