Même si l'un d'entre eux s'est fait traiter de "frère de Vertenten", les appels à respecter les arbitres ont été entendus.
Un exemple révélateur un penalty non sifflé par Jonathan Lardot. "J’ai apprécié la retenue des joueurs et des bancs envers les arbitres. Pourvu que ça dure! Cela dit, ça n’empêche évidemment pas d’analyser les phases", a avancé Stéphane Breda, le consultant arbitrage de La Meuse.
"Pour moi, il y avait penalty de Butez sur Emond, le gardien mouscronnois ne touche pas le ballon mais bien la jambe de l'attaquant. Sur cette phase, où le ballon n’est plus jouable, on peut comprendre que le VAR laisse l’appréciation à l’arbitre. Mais il faut quand même rappeler que, dans le règlement, la position du ballon, du moment qu’il est en jeu, n’a aucune incidence. J’entends certains commentateurs dire que sur cette phase, l’arbitre peut siffler penalty. Pour moi, c’est clair: il doit siffler!"
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