"Merci à ma petite femme d’avoir supporté mes 3567889542 superstitions, mes enfants d’amour d’avoir fait de moi le meilleur joueur du monde (du moins dans leurs yeux), aux supporters (les miens et adverses) qui m’ont toujours poussé à me surpasser mais aussi à mes dirigeants, entraîneurs, coéquipiers et adversaires sans qui cette carrière n’aurait pas été ce qu’elle a été. 19 ans et beaucoup de prises de conscience plus tard, je dis donc au revoir à ce monde qui, certes, a fait de moi ce que je suis aujourd’hui mais qui était bien trop dur pour mon âme sensible. C’est donc sans aucun regret que mes clubs de golf ont remplacé gants et crampons dans mon coffre. Je sors définitivement de ma cage."
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