L'Assemblée Générale de la Pro League prévue le 16 mars doit - notamment - décider du nombre de clubs en Division 1A lors de la saison 2022-2023: dix-huit, comme c'est actuellement le cas à cause de l'acharnement de Waasland-Beveren, qui avait finalement gagné son maintien au tribunal, ou seize, comme initialement prévu. Il y aurait dans ce cas trois descendants la saison prochaine.
Une perspective qui inquiète forcément les "petit" clubs, lesquels invoquent la crise sanitaire pour tirer la sonnette d'alarme, et affirmer que l'impact financier d'une relégation serait désastreux.
Ils plaident donc pour le maintien pendant une année supplémentaire, de la formule avec dix-huit équipes.
Malheureusement pour eux, rapporte
Het Laatste Nieuws (
https://bit.ly/3sZqIun), il est apparu vendredi lors d'une réunion de la Pro League, que ce n'était pas la tendance, et qu'ils auront dès lors bien du mal à obtenir gain de cause.
Le problème de la présidence de la Pro League a également été abordé pour conclure qu'en fonction du principe de "bonne gouvernance", il serait préférable qu'elle revienne à un indépendant, et non à un dirigeant de club comme le président actuel Peter Croonen (KRC Genk).
Une autre préoccupation est que le conseil d'administration de la Pro League a ou aurait trop de pouvoir.
Les trois candidats à la succession de Karel Van Eetvelt (Anderlecht) au CA sont Jos Donvil (Anderlecht), Walter Damen (Beerschot) et Harm Van Veldhoven (Lommel). Le club Bruges n'est pas intéressé par le poste.
Enfin le CEO du Club Bruges Vincent Mannaert, a prononcé un plaidoyer ferme pour la BeNeLeague.