Pour Sébastien Pocognoli, cette saison a commencé fort avec l'Union Saint-Gilloise. Au point de convaincre Monaco d'aller le chercher à Bruxelles pour faire de lui le successeur d'Adi Hütter.
Et après avoir partagé l'enjeu 1-1 contre Angers en championnat, le coach débutait en Ligue des Champions avec son nouveau club contre Tottenham. Une rencontre qui s'est de nouveau terminée sur un match nul mais aussi avec de la frustration de ne pas l'avoir emporté.
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"On méritait de gagner"Au coup de sifflet final, le coach avouait avoir demandé leur avis aux joueurs sur le résultat final : "J’ai demandé le feeling à certains joueurs, je voulais savoir ce qu’ils pensaient après le match. Il y avait d’un côté de la déception, car on méritait de gagner : on s’est créé des occasions, on avait une bonne attitude."
"On avait une certaine fierté aussi. On a un double feeling, comme moi, sur ça on est raccord. Je suis fier, car en peu de temps, on a montré des choses avec certains aspects. De l’autre côté, je suis triste, car on est ambitieux et qu’on veut gagner le match, et qu’on pouvait le faire", de conclure Pocognoli.
"Je suis triste, car on est ambitieux"
Septième en championnat, Monaco est vingt-septième en Ligue des Champions avec seulement deux points en trois rencontres. Pour le moment, le top 24 est seulement à une unité et tout est donc encore possible, y compris une qualification directe dans le top 8, qui n'est qu'à quatre points.
Pour le coach et ses joueurs, il va désormais falloir trouver le moyen d'enchainer les victoires. C'est contre Toulouse que les Principautaires devront tenter de faire mieux qu'un match nul ce samedi soir. Il y aura ensuite un déplacement à Nantes et la réception du Paris FC avant de se rendre à Bodo/Glimt.