Union : "Je ne sais pas s'ils étaient vraiment derrière moi"

Ce mercredi soir, l'Union Saint-Gilloise avait rendez-vous avec Meux pour son seizième de finale de la Coupe de Belgique. 

Une rencontre pour laquelle les Bruxellois partaient favoris même si dans une compétition comme la Croky Cup, les rencontres peuvent être plus que jamais indécises. 

"Je ne sais pas s'ils étaient derrière moi"

Les hommes d'Alexander Blessin ont pu s'en rendre compte puisque s'ils avaient ouvert le score, ils ont vu leur adversaire égaliser sur une de leurs rares occasions. Un but sur lequel Joachim Imbrechts n'a rien pu faire. 

"C’est frustrant mais on sait que ça peut arriver dans ce genre de match. L’équipe a bien réagi après, c’est important. On sait très bien que ce sont des matches pièges. Un premier match de Coupe, contre une équipe qui n’a rien à perdre et tout à gagner. Il y avait du monde, ils se sont donnés à fond. On s’est concentrés sur le match, on savait que ça allait être compliqué et je pense qu’on a fait le taff", déclarait le gardien à la RTBF au coup de sifflet final. 

Un Imbrechts qui disputait une rencontre spéciale lui qui est originaire de Meux et qui y a joué quand il était jeune : "Je ne sais pas s’ils étaient vraiment derrière moi vu les sifflets du début de match. Je le prends à la rigolade, pas de souci", disait-il. 

Avant de conclure : "Les connaissant un peu, je savais qu’ils étaient coriaces. L’an dernier contre Saint-Trond, ils avaient aussi fait ce style de match. On s’y attendait, on a tout fait pour ne pas tomber dans le piège. Ma 1e titularisation ? J’ai essayé de l’aborder comme un match de foot. Mais quand on y repense, c’est sympa. J’espère que c’est le début d’une série. Si je vais me faire chambrer par les Meutois ? Oui, sans doute (rires). Mais au moins, je pourrai dire qu’on a gagné."