"On verra d’ici deux à trois semaines où j’en suis réellement, mais je suis déjà super-content d’être là . Serai-je en état de disputer une bribe d’un match amical programmé avant l’Euro? Franchement, je ne sais pas si c’est faisable", a avancé Witsel à La Meuse. "L'Euro? Je n’ai jamais pensé que c’était mort. Parce que c’est ma mentalité, je me suis mis en mode guerrier. Dans ma tête, je me suis dit qu’Euro ou pas Euro, on verrait bien mais que ça valait la peine de tout tenter."
"Je n’ai jamais fait une croix sur ce tournoi, sans être assuré non plus d’être dans les temps et de pouvoir y participer. J’ai eu l’occasion de discuter avec Christian Benteke qui a été victime de la même blessure et qui avait pu rejouer après cinq mois. Je me suis alors dit: -Pourquoi ne serais-je pas dans le groupe, même si c’est le coach qui établit sa sélection ?"