Quand ça ne va pas bien, les clubs accusent la presse de tous leurs déboires. C'est le cas à Anderlecht avec Antonio Milic ou Thomas Didillon avance qu'il ressent une réelle volonté de dégrader Anderlecht.
"Depuis la défaite à Bruges, on ne parle que des stats négatives. Tous les éléments positifs passent à la trappe. Je n’ai jamais entendu qu’avant Genk, on était invaincu à domicile", a répliqué le gardien à La Meuse, quand on lui a rappelé qu'Anderlecht restait sur cinq matches sans victoire.
La Dernière Heure a dressé le bilan mauve. Toutes compétitions confondues, Anderlecht a disputé 44 matches en a gagné et perdu 17 pour 10 partages. Pour voir pire, il faut remonte en 1938: 27 matches joués, 8 victoires, 6 nuls et 13 défaites.
De janvier à juin, Anderlecht a gagné 8 matches et en a perdu 8. Et de juillet jusqu’à jeudi à Zagreb, le club bruxellois a enregistré 9 victoires et 9 défaites.
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