Anderlecht devrait connaître un mercato d'hiver frénétique après la débâcle de l'été. Thomas Didillon est un des rares transferts réussis mais cela n'empêche pas que les Mauves restent sur une série de cinq matches sans victoire.
"On m’avait prévenu que c’était la crise si on ne gagnait pas deux matches d’affilée parce qu’Anderlecht était le Real de Belgique. C’est bien le cas", assuré le gardien à La Meuse. "On a l’impression d’être le vilain petit canard. J’accepte la critique mais pas qu’on coupe au montage pour avoir le cadre qu’on a envie d’avoir. Cela manque d’objectivité. On dramatise toujours la situation. J’ai lu que le match à Zulte serait le dernier de notre coach. Trois jours avant, Luc Devroe nous a dit le contraire."
"Je n’ai jamais vu un public siffler une équipe qui gagne sans la manière. Contre Gand, on a gagné à la Weiler. Est-ce que je préfère être champion avec des pointus à la 89e ou être deuxième en jouant bien? Mon choix sera vite fait. On ne retient que la victoire. On retient que Real a gagné la Ligue des champions pas que Ramos a pété l’épaule de Salah en finale."
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