L'Union SG affrontera Newcastle United en Ligue des champions. Après avoir remporté ses trois premiers points sur le terrain du PSV, le champion de Belgique souhaite poursuivre sur sa lancée. Kevin Mac Allister a donné une conférence de presse avant le choc européen.
L'Union a créé la surprise en s'imposant 1-3 sur le terrain du champion national néerlandais, le PSV. Les Bruxellois sont également en forme dans leur propre championnat. L'Union a immédiatement pris la tête de la Jupiler Pro League. Pourtant, quelque chose tracasse encore Mac Allister.
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Un adversaire difficileMac Allister attend avec impatience la confrontation avec Newcastle et a fait l'éloge de la Premier League. Son frère joue à Liverpool, qui affrontera Galatasaray en Ligue des champions.
« C'est le meilleur championnat du monde, donc je suis la Premier League de près. Je regarde aussi régulièrement les matchs de Newcastle, car j'aime leur façon de jouer. Bien sûr, mon frère pourrait me donner des conseils, mais je sais moi-même très bien à quoi nous allons être confrontés. »
Le défenseur voit également des similitudes avec l'Union SG. « Newcastle, l'Union de la Premier League ? Il y a en tout cas des similitudes. Nous jouons tous les deux parfois en bloc bas et guettons la contre-attaque, nous gardons parfois le ballon pour ensuite chercher les espaces dans le dos de la défense. À cet égard, on peut donc nous comparer. Même s'ils ont peut-être un peu plus de qualité. »
Un handicap européen
L'Union ne peut pas jouer dans son propre stade, le stade Joseph Marien, ce qui est regrettable, estime Mac Allister. « Jouer ici n'est pas la même chose que jouer au Parc Duden. Mais entre-temps, nous nous y sommes habitués. Lors de ma première saison ici, nous avons par exemple joué tous nos matchs d'Europa League ici. Nous avons notamment affronté Liverpool et l'ambiance était très bonne. »
Mac Allister est néanmoins ravi des supporters de l'Union SG. « Vous savez, quand les supporters chantent et crient, cela me suffit pour me sentir chez moi. C'est le plus important, car sur le terrain, nous ne sommes peut-être que onze, mais avec eux derrière nous, on a l'impression d'être douze », a-t-il déclaré au journal Het Nieuwsblad.