Le CEO de l'Union compare ses chevaux à ses joueurs

Pour l'Union Saint-Gilloise, après une saison exceptionnelle, c'est une autre très grosse saison qui est réalisée cette année. 

De quoi rendre heureux Phillipe Bormans, son CEO. Un homme particulièrement occupé, qui se partage entre les projets à courts termes et ceux à plus long terme, comme la construction d'un nouveau stade, qui lui donne pas mal de fil à retordre. 

Pour couper, il peut compter sur une activité qui a priori n'a pas grand chose à voir avec le monde du ballon rond. Installé à Heers, petit village flamand situé à la frontière linguistique, juste à côté de Waremme, il profite de ses chevaux. Dans ses écuries, on en compte une soixantaine, ce qui lui permet de souffler : "C'est nécessaire", confie-t-il à la Dernière Heure - Les Sports. 

POINTS COMMUNS

"J'ai besoin de déconnecter au moins une heure par jour en revenant du club", ajoute-t-il encore. "Les chevaux et les footballeurs ont de nombreux points communs", dit encore celui qui pourrait voir son club remporter un premier trophée depuis son retour dans l'élite du football belge. 

Déjà assuré de participer aux playoffs pour le titre, les Bruxellois sont revenus à trois longueurs du leader, Genk. Et même s'il habite dans le Limbourg, aucun doute que Bormans ne voudra faire le moindre cadeau à ses voisins.

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