Robin Veldman parle de ses adieux à Anderlecht

Dimanche, le classico entre le Club de Bruges et Anderlecht est au programme. Le moment idéal, selon Het Nieuwsblad, pour rencontrer Robin Veldman, qui a récemment rejoint le Jan Breydel.

En raison de la promotion temporaire de Nicky Hayen coññe T1, le Néerlandais de 38 ans a été désigné par les Blauw and Zwart pour prendre en charge le Club NXT. Compte tenu de son passé récent à Anderlecht, ce choix a suscité l'émoi d'une partie des supporters bruxellois, où il était très populaire.

Fredberg s'est débarrassé de Veldman

"Je prends comme un compliment le fait que mon nouveau travail provoque quelque chose. Cela signifie que j'ai fait quelque chose à Anderlecht, n'est-ce pas ?", a déclaré Veldman, qui a d'abord fait du bon travail au RSCA Futures avant d'occuper successivement les postes de T1-ad intérimaire et d'asisstent au sein de l'équipe principale des Bruxellois.

Mais après l'arrivée du tandem danois Jesper Fredberg et Brian Riemer, qui souhaitait prendre une autre direction, son histoire dans la capitale a vite pris fin.

"A Bruxelles, ils ont choisi de nouvelles personnes à l'époque", a laissé entendre l'ambitieux entraîneur, qui a précisé qu'il n'avait pas choisi de quitter le Lotto Park.

Pourtant, Wouter Vandenhaute était un fervent défenseur de Veldman, qu'il a même étiqueté de "Jean Dockx moderne".

"Je pense encore à cela oui. Quand un club comme Anderlecht parle d'un rôle aussi important, mais que peu de temps après, cela s'arrête déjà.... On se gratte alors derrière les oreilles. Ça fait mal, mais la vie continue".

Toujours selon Veldman, cela a été particulièrement inconfortable pour le président lui-même, qui lui a d'ailleurs souhaité beaucoup de succès chez le grand rival, de mettre fin prématurément à la collaboration.

Enfin, il note que son ancien employeur réalise actuellement de meilleures performances avec un football plus réaliste et plus direct qu'auparavant.