En Flandre, le Standard est un exemple pour Anderlecht, Bruges et les autres

Le week-end dernier, les supporters d'Anderlecht et de Gand ont manifesté leur insatisfaction au sujet du déroulement des événements au sein de leurs clubs.

 

Pour Het Nieuwsblad, les supporters sont là principalement pour supporter. Soutenir le club. C'est pourquoi on peut comprendre la sortie de Hein Vanhaezebrouck contre les partisans d'Anderlecht la semaine dernière. Aucun joueur n’a mieux joué après un concert de coups de sifflet.
 

"Cela ne signifie pas que les fans doivent rester assis et se taire. Ils paient un abonnement ou un billet et cela leur donne le droit de donner leur avis. De préférence pacifique et sans déranger le match. L'idéal est toutefois d'inclure une délégation de supporters dans la direction du club, comme c'est obligatoire en Allemagne."
 

"En Belgique, ce n’est que le cas qu'au Standard. Pourquoi donc? Lorsque les supporters réalisent qu'avec la direction, cela ne peut aller, nous voyons peu de problèmes. La transparence et une forme de participation ne font qu’assurer plus d’harmonie et de durabilité. Parce que les supporters survivent à chaque direction, à chaque entraîneur et à tous les joueurs. Ils sont le vrai capital du club."