Le Club de Bruges vit un début de saison difficile, surtoiut en dehors des terrains. Alors que le champion national attend avec impatience un nouveau verdict concernant les plans du stade, le tribunal vient de rendre une décision défavorable à Bruges dans une autre affaire.
Il y a quelque temps, le Club a intenté une action en justice contre un ex-consultant, dont le travail consistait en 2015 à développer un outil comprenant la collecte et l'analyse d'informations commerciales, techniques, opérationnelles ou financières. De sa propre initiative, il a également conservé des données sportives sur des joueurs pendant ses prestations.
Antwerp contre Bruges
Peu de temps après la fin de l'accord, il est apparu que l'homme avait lancé une activité commerciale autour de la quantification et de l'analyse objective de données sportives. Pas n'importe quelle entreprise, puisque ces services étaient fournis à l'Antwerp. Un concurrent direct de son ancien employeur, donc.
Le club l'a ensuite accusé d'avoir transmis des informations et des données internes sur Brandon Mechele et Ruud Vormer, entre autres, au Great Old, mais selon le tribunal de première instance, il n'y avait aucune raison de le condamner pour piratage interne, falsification de données ou abus de confiance.
Verdict confirmé
En appel, ce verdict est maintenant également confirmé par le tribunal de Gand, qui a conclu qu'il n'y avait aucune preuve dans le dossier pénal qu'il avait encore accès au système informatique du Club après la fin de son emploi. En revanche, certaines infractions à la loi sur le traitement des données à caractère personnel ont été confirmées.
En effet, le tribunal a constaté que les fichiers personnels des joueurs Vormer et Mechele ont été transférés sur un ordinateur portable que l'accusé avait reçu de ... la part du matricule 1.