Le Standard de Liège vit une saison dramatique, en plus d'être aux abonnés absents en championnat, les finances du club du bord de Meuse sont elles aussi dans le rouge. Bruno Venanzi, président du matricule 16, ne devrait plus tarder à annoncer les noms des investisseurs qui auront pour mission de replacer le club liégeois sur les bons rails. Philippe Léonard, ancien arrière gauche de l'actuel 14e de D1A, a évoqué la situation de son ancien club dans une interview accordée à nos confrères de La Dernière Heure des Sports.
Philippe Léonard constate que Bruno Venanzi n'a jamais su s'entourer de bonnes personnes, s'il décide de rester dans l'organigramme du Standard de Liège, il devra à tout prix renverser la tendance et ne plus répéter les mêmes erreurs, c'est du moins ce que lui conseille de faire le Liégeois de 48 ans. L'ancien de Monaco avait lui aussi proposé une solution aux Rouches.
"Si le président reste, il doit enfin s'entourer de bonnes personnes, ce qu'il n'a jamais réussi à faire. Je suis favorable à ce que les anciens joueurs reviennent à certains postes clés, par exemple dans le centre de formation. Aujourd'hui, Standard a surtout besoin d'argent. La saison dernière, j'ai proposé aux investisseurs qui possèdent les Boston Celtics (une équipe de basket-ball américaine et depuis peu également les propriétaires d'Atlanta United), et ils m'ont répondu que le Standard n'était pas à vendre... Lors de la prochaine fenêtre de transfert, il faudra se débarrasser des trois quarts de l'effectif."
STANDARD
Ce dimanche, les hommes d'Elsner accueilleront Gand lors de la 29e journée de championnat.
Philippe Léonard constate que Bruno Venanzi n'a jamais su s'entourer de bonnes personnes, s'il décide de rester dans l'organigramme du Standard de Liège, il devra à tout prix renverser la tendance et ne plus répéter les mêmes erreurs, c'est du moins ce que lui conseille de faire le Liégeois de 48 ans. L'ancien de Monaco avait lui aussi proposé une solution aux Rouches.
"Si le président reste, il doit enfin s'entourer de bonnes personnes, ce qu'il n'a jamais réussi à faire. Je suis favorable à ce que les anciens joueurs reviennent à certains postes clés, par exemple dans le centre de formation. Aujourd'hui, Standard a surtout besoin d'argent. La saison dernière, j'ai proposé aux investisseurs qui possèdent les Boston Celtics (une équipe de basket-ball américaine et depuis peu également les propriétaires d'Atlanta United), et ils m'ont répondu que le Standard n'était pas à vendre... Lors de la prochaine fenêtre de transfert, il faudra se débarrasser des trois quarts de l'effectif."
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Ce dimanche, les hommes d'Elsner accueilleront Gand lors de la 29e journée de championnat.
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