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De tous côtés, on n'entend plus que ça ! Les amateurs de twist (https://bit.ly/3uqEszQ) et des sixties ne peuvent que se souvenir de cette phrase. Mais là on parle des tonnes de commentaires négatifs qui s'abattent ces derniers jours sur la tête de Vincent Kompany. En résumé ce que veulent tous ses détracteurs, c'est que la direction des mauves décide de l'envoyer twister ailleurs...
Vous direz que les fans du Standard n'épargnent pas davantage Mbaye Leye en ce moment, mais ce n'est pas le sujet.
Sauf que le Clasico Standard - Anderlecht est à l'affiche dimanche (13h30).
Les supporters du Sporting ont été clairs: ils exigent une victoire.
Ok, mais comment l'obtenir ?
Kompany devra d'abord comprendre ce qui n'a pas marché contre Courtrai, avant d'y penser.
C'est à dire pourquoi ses joueurs se sont inclinés sans avoir tout tenté pour empêcher cette humiliation.
"Ils étaient comme paralysés", s'étonnait Vince après le match (?). "On aurait dit qu'ils avaient peur (de lui, peut-être, ndlr). Mais gagner en ne prenant aucun risque n'est pas possible. Je ne vais pas m'épancher davantage parce que quand on est entraîneur, il vaut mieux se taire après une défaite aussi méritée et indiscutable que celle là. On peut perdre un match, mais pas comme ça..."
En deux mots: copier l'entraîneur de Courtrai Luka Elsner !
"Je ne pousse pas le coach du Standard à faire du copier-coller", a-t-il certes écrit, "mais il serait logique de s’inspirer de la manière dont son confrère a complètement muselé Anderlecht. L’axe était totalement fermé, d'où l'impuissance de Lokonga et Nmecha, mais aussi de Bruun Larsen et Mukairu, bien pris en deux contre un sur les flancs. Le champ des possibilités des Anderlechtois était limité. Or à moins d'un geste spectaculaire, ils ne parviennent pas à faire plier une équipe bien appliquée..."
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