Les Chinois ne se contentent pas d'enrôler des joueurs comme Axel Witsel à coups de millions. Ils ont depuis un petit bout de temps entamer une politique visant à acquérir des clubs dans le monde entier et forcément en Europe. La Belgique n'est pas épargnée.
Via son porte-parole, Anderlecht a annoncé que les supporters ne devaient craindre pas
pour le moment un rachat de leur club favori. Bref, on peut s'attendre à tout même si le principal candidat à la reprise d'Anderlecht
est déjà dans les murs .
Selon
Het Laatste Nieuws, la moitié des clubs de Division 1 a déjà discuté avec des candidats investisseurs chinois. "J’ai eu affaire à cinq, six personnes avec des offres venant de Chine, mais nous ne sommes jamais allés jusqu’à la phase finale des négociations", a avoué Roger Lambrecht. Le président de Lokeren a fixé le prix de rachat de son club à 20 millions et les Chinois lui en en donnaient 15. Mais ce n’est pas pour cela que l'affaire a capoté. "C’est plutôt l’ancrage local, je veux qu’il soit assuré".
Outre Lokeren, Mouscron, Westerlo et Saint-Trond ont été approchés. Cinq autres clubs ont été contactés peut-être pas pour la vente du club, mais pour le sponsoring ou la formation.