Au Standard, tous les joueurs ayant peu de temps de jeu sont poussés vers la sortie. Pourtant, il y aurait une exception: un attaquant, qui n'a pourtant fait que six brèves apparitions.
Arrivé en grandes pompes à Sclessin en 2015, Renaud Emond a vécu un enfer. L'arrivée d'Aleksandar Jankovic lui a donné une bouffée d'oxygène mais il n'a pas encore pu s'installer dans le onze de base.
"Mais je n’ai de regret pour autant. Cela ne fait pas partie de ma façon de fonctionner. J’ai signé au Standard parce que je voulais vraiment venir. C’était mon propre choix à l’époque, pas celui d’un manager, je voulais venir ici en âme et conscience. Je savais que la concurrence serait rude. C’est toujours le cas dans les grands clubs", a expliqué Emond à
L'Avenir.
"Il y a évidemment des offres pour aller voir ailleurs. Mais la donne est claire, le Standard veut me conserver et s’est opposé à un départ. Les dirigeants et l’entraîneur ont dit qu’ils comptaient sur moi. Je ne me vois donc pas aller ailleurs pour l’instant. Dans ma tête, je suis toujours bien Standardman".