Le Sporting bruxellois demande également un investissement de la part de ses joueurs mais là , il est systématique, raconte Xavier Thirion dans La Capitale.
"Nous offrons les trois premières leçons particulières à chaque joueur qui le désire. Mais ensuite, c’est à lui de payer s’il souhaite poursuivre les cours", souligne en effet Karel Van Eetvelt, le CEO du RSCA.
Au Parc Astrid, il n’y a donc plus aucune obligation à suivre des cours -l’approche est plus stricte avec les jeunes-, mais chaque joueur doit se débrouiller en français, en néerlandais ou en anglais.
Ces dernières années, la langue du vestiaire a souvent été le français à Anderlecht.
Depuis l’arrivée de Vincent Kompany et de son staff, l’anglais a naturellement repris le dessus, même si le français et le néerlandais sont encore régulièrement utilisés.
D’une manière générale, une grande place est désormais laissée à l’initiative personnelle, à Anderlecht, où les joueurs sont nettement moins "chouchoutés"qu’avant.
C’est aux agents à les aider à prendre en charge toute une série d’obligations administratives, estime en effet la nouvelle direction.
Les joueurs en sortiront probablement plus matures, mais peut-être aussi avec un sentiment d’appartenance au club largement moins prononcé que par le passé, conclut l'article de Sud Presse.