Anderlecht a prêté plusieurs joueurs et en janvier, a placé à Genk Thomas Didillon, un des rares joueurs à avoir effectué le boulot la saison dernière. Le gardien a préféré le club limbourgeois à une piste aux Etats-Unis.
"J’ai surtout été choqué de la manière dont cela s’est passé. Être mis de côté en fin de mercato alors qu’il n’y avait pratiquement pas moyen de se retourner, c’était très dur", a expliqué Didillon à La Meuse. "Je n’avais absolument rien vu venir. La préparation s’était bien déroulée et la direction m’avait même fait savoir qu’elle ne donnerait aucune suite aux offres éventuelles car elle voulait me garder à tout prix."
"Je n’oublie pas non plus qu’Anderlecht a cru en moi en venant me chercher à Metz où je restais sur une saison compliquée. Grâce à Anderlecht, j’ai découvert l’Europe. J’ai un sentiment d’inachevé, comme lors de ma dernière saison à Metz où, pour des raisons manifestement extra-sportives, on m’avait préféré Kawashima alors que j’avais participé au titre en Ligue 2 et au sauvetage en Ligue 1."
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