"Le Brussels, c’était le deuxième club de la capitale. Ceux pour qui ça ne se passait pas bien à Anderlecht, se retrouvaient souvent au Brussels. Mais, par contre, les jeunes d’Anderlecht avaient souvent du mal quand ils jouaient contre nous. Eux, ils arrivaient avec leur beau maillot, la classe, nous c’était plus ghetto. On n’avait pas beaucoup de moyens, mais on avait les tripes", a raconté Dimata à Sport/FootMagazine.