Ricardo Sa Pinto a fait rigoler (parfois jaune) pas mal de monde. C'est cair que le Portugais n'a laissé personne indifférent dans la corporation généralement liguée contre lui.
"Il a pris tellement de tackles sur sa cheville, j’imagine qu’un verre de bière n’a pas trop dû lui faire mal", a avancé Ivan Vukomanovic dans La Meuse. "Il a fait du cinéma comme on n’en voit pas souvent en Belgique, c’était rigolo. Sa Pinto a un peu enflammé les supporters et surtout il a cassé le rythme d’Anderlecht. C’était très intelligent de sa part. En tant que coach, il a voulu prendre toute la pression sur lui, ce sont des moments que tu dois sentir. Il transmet toute son énergie et sa mentalité au groupe."
"Tu ne peux pas tenir 40 matches comme cela. Il y a des matches que tu devras gagner avec d’autres méthodes, notamment footballistiques.Quant à l’image qu’il véhicule, c’est au Standard de décider. En tout cas, il correspond au club."
Avec Michel Preud’homme, Dominique D'Onofrio, Sergio Conceiçao, MIrcea Rednic et Guy Luzon : ça bougeait pas mal non plus à Sclessin.