La Juve ne veut pas d'un racketteur

Sale semaine pour Gianluigi Donnarumma, responsable de l'élimination du Paris Saint-Germain par le Real Madrid, mercredi à Bernabeu en huitième de finale de la Ligue des Champions de football. Du coup le gardien international italien (23 ans, 40 sélections) s'est en plus retrouvé sur le banc pour la réception des Girondins de Bordeaux (3-0), ce dimanche après-midi.

Il serait même décidé à quitter Paris, où son contrat n'expire qu'en juin 2026, si possible pour retourner en Italie.

Détesté à Milan, son club formateur qu'il a quitté gratuitement en juin dernier, il ne voudrait toutefois aller qu'à la Juventus Turin.

Il y aurait cependant un hic: "Donnarumma n’entre pas dans les plans de la Juventus de Turin", d'après le spécialiste des transferts Ignazio Genuardi (https://cutt.ly/UA0m8kW).

Mais il y a aussi autre chose: le nom de Donnarumma est en effet apparu dans un dossier de France Football sur l'influence des familles sur la carrière des joueurs, rapporte BUT (https://cutt.ly/6A0EtT9).

Il a ainsi été révélé que le pourtant tout puissant Mino Raiola avait été obligé de reverser une partie des commissions reçues sur ses prolongations de contrat au Milan et sa prime à la signature au PSG à la famille de Donnarumma.

Une pratique qualifiée de "racket" par un spécialiste que le magazine a interrogé à ce sujet.

La valeur actuelle du joueur atteint 65 millions d'euros, selon Transfermarkt.

L'autre gardien du PSG, le Costaricien Keylor Navas, 35 ans, sous contrat jusqu'en juin 2024, souhaiterait lui aussi obtenir un bon de sortie lors du prochain mercato d'été, selon L'Equipe.