Le Standard de dimanche à Bruges était une pâle copie de l'équipe que l'on avait vue jeudi contre le FC Séville. Parmi les excuses avancées, il y avait la fatigue: les Rouches n'avaient pas reçu 72 heures de répit alors que les Blauw & Zwart avaient joué mercredi en Ligue des Chamoions.
Pour Michel Preud'homme c'est de la couillonnade. "Souvenez-vous! Le match aller s’était également disputé après une semaine européenne. Début octobre, nous avions également eu une période de repos moindre que celle des Brugeois. Or, nous les avions atomisés! Cette fois, c’est nous qui avons été atomisés."
"On ne peut pas se cacher derrière cet argument de la fatigue! Je dois chercher les raisons de cet échec au niveau de la mentalité, pas au niveau du physique. On doit être capable de se focaliser sur un objectif quelques jours seulement après en avoir rempli un autre!"