Vu de l'intérieur: 3-0, le Standard est bien payé!

Le Standard n'a pas existé au Stade Jan Breydel. Michel Preud'homme semblait désarmé devant tant d'impuissance. Il est resté les bras croisés pendant que ses joueurs étaient conduits à l'abattoir.

“Les points positifs? Moi, je n’en vois qu’un, c’est qu’on n’a plus encaissé après le 3-0. Cela aurait pu être bien pire. Perdre un match, ça peut arrive! Mais pas comme ça", a avancé Preud'homme. "Quand tu commences une rencontre sans volonté, en manquant de concentration et en te montrant laxiste, tu as de grandes chances de te faire rapidement punir, d’autant plus sur le terrain du champion en titre. Le match était joué après dix minutes!"