Le début de saison d'Anderlecht n'est pas flamboyant. Plusieurs joueurs arrivés en été sont loin de confirmer leur réputation de grand talent. Les problèmes d'adaptation sont à la base de ces échecs.
Selon Het Nieuwsblad, des garçons comme Bubacar Sanneh ne se sentent pas chez eux à Bruxelles. Jusqu'ici, Anderlecht comptait sur la cellule sociale pour guider les joueurs. C'est désormais un peu plus difficile.
Marc Coucke a considérablement réduit la cellule sociale. Selon le nouveau président d'Anderlecht, les managers, qui sont déjà bien payés, devraient s'occuper eux-mêmes de l'accompagnement de leurs joueurs. De nombreux travailleurs sociaux ont dû quitter Anderlecht. Seul Jan Verlinden, qui s'occupe principalement des U18 et U21, est resté en place.
Une autre économie qui aurait eu un impact est d'arrêter la collaboration avec le restaurant italien Bella Vita situé à 100 mètres du complexe d'entraînement. Dans le passé, les joueurs pouvaient s'y rendre pour prendre un repas sain, en consultation avec le nutritionniste. C'est maintenant aussi terminé.
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