Quand une équipe reste sur un deux sur douze, on pointe directement le doigt sur le coach. Certains vont même jusqu'à demander son licenciement. Indépendamment de son statut particulier, on voit mal le président demander à MIchel Preud'homme de faire un pas de côté.
"On m’a suffisamment reproché la saison passée – à la même époque!- de garder ma confiance envers Ricardo Sa Pinto. Sur le moyen et le long terme, cela a payé avec un concours de circonstances certes", a répondu Bruno Venanzi à La Meuse. "Mais je constate aujourd'hui que ce qui se produit sur le terrain lors des bonnes prestations du Standard est nettement supérieur à ce qu’on voyait la saison passée."
"Quand l’équipe ne gagne pas, je suis toujours fâché, quelle que soit la mentalité affichée. Si elle n’est pas bonne, je le serai encore plus sous le coup de la déception. La fatigue peut être légitime mais j’espère qu’elle va être sublimée bientôt par l’importance de l’enjeu."
Le vote: Le Standard va-t-il afficher une autre mentalité à Krasnodar?