Quand on prend deux points sur douze, on peut difficilement prétendre que l'on est bon. C'est évident, le Standard traverse une période difficile.
"En connaissant l’Antwerp, son organisation parfaite qui ne laisse que peu d’espaces, son armada physique impressionnante à côté de techniciens capables de conserver le ballon, il fallait être une machine de guerre pour remporter ce match", a regretté Michel Preud’homme dans La Meuse.
"Nous ne l’avons pas été face à une formation contre laquelle il est difficile de maintenir une pression constante. On savait aussi qu’il ne fallait pas encaisser le premier car, à l’exception de Genk qui a d’autres qualités que nous, il est difficile de marquer trois ou quatre fois contre l’Antwerp."